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Graphiques | Informations | Labels
Dans le cadre de la projection directe, où le résultat audible dépend de la concordance entre les masses spatiales inscrites sur le support multicanal et la disposition des enceintes par rapport au public, il est primordial de pouvoir communiquer clairement ces informations conjointement au support, dans le cas où l'œuvre est sensée être reproductible.
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Dans le cas des dispositifs domestiques, de la stéréophonie à
la
pentaphonie et l'heptaphonie (formats "surround"), le dispositif est implicite, dans le sens où on suppose que l'utilisateur
est censé
connaitre la manière dont les enceintes doivent
être disposées et quelle est la place
d'écoute optimum. En ce qui concerne les œuvres réalisées pour des projections publiques de type séances et concerts, qui utilisent donc des dispositions non "standards", pour celles qui ne s'étendent que dans deux dimensions, une "vue de dessus" similaire qui indique les numéros des canaux du support ainsi que la zone d'écoute et son orientation (ici en gris) est généralement suffisante. Afin de permettre un placement sans ambiguïté, la meilleure solution consiste à les placer sur un quadrillage, en indiquant l'échelle, c'est à dire les dimensions minimum / maximum acceptables d'un carré ou de la longueur / largeur totale. Si le dispositif s'étend dans les trois dimensions,
les choses deviennent plus complexes. L'association de deux vues 2D complémentaires,
par exemple de dessus et de côté peut convenir pour les cas
les plus simples (les enceintes en hauteur sont ici indiquées en
rouge). Quant aux installations, si elles sont réalisées pour un lieu particulier, et donc ne sont pas amenées à devoir être reproduites dans d'autres circonstances, la question de la transmission du dispositif correspondant au support ne se pose guère. Pour les autres, on retrouve une situation analogue à celle présentée précédemment et les représentations graphiques sont tout aussi efficaces. |
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Si les représentations graphiques peuvent indiquer précisément les positions relatives des projecteurs, un certain nombre d'informations indispensables doivent être également fournies sous forme textuelle. Parmi celles-ci, la plage acceptable de variation
de la taille et des proportions du dispositif est indispensable,
ainsi que : |
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Le cas particulier des dispositifs issus des pseudo standards
de l'industrie cinématographique permet une alternative aux représentations
graphiques, car ils définissent actuellement la
position de 22.2 ou de 24 canaux de projection simplement par l'appellation associée à
chaque enceinte / canal. Cela donnerait le schéma ci-contre (pour le 17.1). Un certain nombre de logiciels on déjà adopté déjà
cette nomenclature : |
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