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Si la projection directe représente un raccourci idéal dans le sens où il minimise les opérations sur le signal qui peuvent interférer avec les critères du son, le nombre de canaux nécessaire peut prendre trop de place sur un support (pellicule, baladeur...) ou nécessiter des débits trop importants (Internet, DVD-Video...).
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en cours de rédaction
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La finalité peut dans certains cas d'ailleurs être la même : économiser de la place sur un support et / ou permettre un certain niveau de compatibilité entre des dispositifs de projection différents. La différence principale entre les deux techniques est que le matriçage ne se préoccupe que de trouver des artifices techniques, essentiellement des déphasages et des filtrages, pour réunir et et séparer des canaux discrets, qui correspondent normalement à la même disposition spatiale avant et après le décodage. L'autre différence est que le signal non décodé est parfaitement audible et directement compatible avec une écoute stéréo. Le matriçage n'est pas sensé interpréter le contenu spatial. |
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La technique du matriçage est utilisée aujourd'hui pour les formats LCRS 4.1 compatibles Dolby Prologic I, mais aussi pour obtenir une voie centrale arrière dans les formats 6.1 EX, et même pour du pseudo 7.1 en Prologic II ou en SRS. Les progrès réalisés entre le Prologic I et le Circle Sound II sont impressionnants, et on se rapproche dans ce dernier cas à l'audition de ce qu'on obtient en utilisant des canaux séparés. On peut envisager aujourd'hui des utilisations du matriçage qui ne dénaturent pratiquement pas le signal par rapport à un signal aux canaux discrets (voir ). |